La constitución ecuatoriana pone en evidencia tres cosas
Ella concibe a la naturaleza como sujeto de derechos, incluyendo el derecho a la restauracion
Luego está, la interpretación de lo que es la " naturaleza". En este sentido se destaca la intención de conciliar la vision occidental des écosystemes et de l'environnement una con visión indígena andina, pues se incluye el respeto a los ciclos de vida de la Pachamama.
Finalmente, es imp0rtante destacar que los derechos de la naturaleza tienen relacion directa con los derechos de las personas. En efecto la calidad de vida de las personas está asociada a un ambiente sano , por lo tanto es necesario llevar la reflexión en dos direcciones: primero comprender y mantener la base ecológica del funcionamiento de la natureleza; segundo, promover la prosperidad y la calidad de vida de las personas basadas en decisiones que integren las limites que la naturaleza nos impone.
Philosofie andine, vision générale
La culture andine, dans le contexte universel, a occupé un plan relégué,
invisible et même oublié, qui a limité la recherche, l’analyse et la
diffusion d’informations socio-démographiques. L’importance de leurs
connaissances et de leur vision du monde a eu tendance à être minimisée
par l’Occident, à la suite de processus sociaux et historiques complexes
ayant débuté il y a plus de 500 ans. Il s’en est suivi des pratiques
discriminatoires qui persistent jusqu’à présent, avec des conséquences
graves pour le bien-être.
Josef Estermann, dans son livre Philosophie Andina, affirme que « les
conceptions non-occidentales de l’univers et de l’homme n’ont pas de «
valeur de marché » pouvant rivaliser avec le paradigme dominant
occidental, c’est-à-dire celui de la domination.
En dépit de cette citation de Josef Estermann, la pensée préhispanique,
caractérisée par sa créativité, est une source originale de réflexion.
En effet, même avec l’introduction de la culture occidentale liée à la
conquête et à l’évangélisation, elle a été transmise de génération en
génération comme une conception sui generis du cosmos, du monde et de
l’homme qui reste en vigueur dans les peuples autochtones.
Il y a eu cependant des progrès indéniables concernant les droits des
populations autochtones, le fruit d’un long chemin de lutte pour leurs
revendications, une lutte qui continue et persiste jusqu’à présent.
Au cours de l’enquête, peu d’informations statistiques ont été relevées
quant aux populations autochtones, comme une sorte d’invisibiliation en
termes de données, mais une bonne approximation de la population
indigène dans les pays andins l’estime à 15% de la population totale
(données extraites du document « Les peuples autochtones en Amérique
Latine Progrès dans la dernière décennie et défis restant à relever pour
garantir leurs droits », page 98, tableau II.2 publié en Novembre 2014
en CEPALC). Toutefois, il est indéniable qu’ils représentent le segment
le plus oublié et non protégé par les programmes des gouvernements des
pays andins.
La vision indigène de la vie est équivalente à la coexistence
harmonieuse de l’homme et de la nature, et entre eux et les autres êtres
à la recherche du « buen vivir » ; elle définit des éléments physiques,
mentaux, émotionnels et spirituels, tant du point de vue individuel que
communautaire, et implique des composantes politiques, les droits
économiques, sociaux et culturels. Elle répond aux expériences
historiques et aux visions du monde de chaque peuple et aux croyances et
pratiques qui font partie des règles communautaires.
Les peuples autochtones fondent leur fonctionnalité dans la communauté
en tant que partie intégrante de ce tissu holistique, par conséquent,
dans la pratique, leur organisation se développe dans ce contexte, c’est
pourquoi nous présentons ici les institutions économiques autochtones
les plus remarquables dans la vie quotidienne, afin de mieux comprendre
leur organisation.