Ontologie et structure de
connaissances
Définition épistémologique cf bouzeghoub 2005
Définition informatique
Ontologie et vocabulaire
Les différents types d’ontologie
Pourquoi structurer les concepts statistiques dans une
ontologie ?
prépondérance du but (voir \cite{Bandalos_2003}
Parce que la structure des
connaissances de l’expert est une ontologie de concepts (pas de termes)
Propriétés structurales vs propriétés fonctionnelles
Souligner l'importance de la structuration de la connaissances pour la résolution de problèmes. Théorie de la charge cognitive de Sweller : les structures cognitives que sont les schémas permettent de libérer les ressources cognitives et donc d'apprendre plus facilement cf
http://www.instructionaldesign.org/theories/cognitive-load.htmlExemple de travaux sur la
structure des connaissances en statistiques
En quoi cela peut-il aider l’étudiant ?
Activités élaboratives et
collaboratives
L’évaluation des apprenants
Mise à disposition d’une base de
connaissances structurée et de ressources pédagogiques
Personnalisation de l’enseignement
En quoi cela peut-il aider l’enseignant ?
Le design de cours cf concept map
design
Disposer d’une base de
connaissances
Partage de ressources ; Indexation
sémantique des ressources
L'utilisation des ontologies pour l'indexation des ressources pédagogiques est un domaine de recherche qui se développe de plus en plus car il permet à la fois de répondre à un certains nombres de limitation des normes, \cite{Bouzeghoub} mais pour donner du sens aux ressources ainsi répertoriées et accompagner de nouveaux usages de ces ressources.
Les OER doivent être décrites par des métadonnées pour être
interopérables. Le premier est le LOM et sa déclinaison française
LOM-FR. Ce standard est cependant complexe à utilisé er incomplet pour
la description sémantique les dépendances entre ressources. Le SCORM
propose un langge de srtucturation des composants. Ces standards ont
pour fonctions principales l'indexation pour la recherche mais pas sur
l'assemblage et l'adaptation des ressources.
Les auteurs proposent une architecture basée sur trois modèles :
- Celui du domaine grâce à une ontologie du domaine qui sert à indexer sémantiquement les ressources et les apprenants.
- le modèle de l'apprenant : informations factuelle et ses connaissances, c'est-à-dire les concepts qu'il connait.
- Le
modèle de description des ressources avec les caractéristiques
éducatives (similaires à LOM et les caractéristiques sémantiques qui se
décline en trois composantes : prérequis, contenu et résultats
d'apprentisage (fonction d'acquisition selon les auteurs).
Une
ressources peut être atomique ou complexe. Dans ce dernier cas, elle
peut être décrite par un graphe de composition expliquant comment sont
parcouru les composantes (séquentielle, alternative ou parallèlisme).
Un
langage d'interrogation SeRQL permet de naviguer dans les trois
modèles, de faire des inférences et de définir les les chemins
pertinents pour l'apprenant.
Challenges
Maintenir, traduire et étendre l’ontologie
Raisonner sur l'ontologie
Adaptative learning et
recommandations de ressources
Affiner notre connaissance de la structure de connaissances